Sony DPT-RP1 : la liseuse 13″ pour remplacer le papier

Une liseuse XXL chez Sony

Le japonais Sony dévoile sa nouvelle tablette DPT-RP1, une liseuse à technologie e-ink, qui dispose d’une taille assez exceptionnelle de 13,3″. Une liseuse tactile évidemment, mais qui se pare également d’une compatibilité avec un stylet, ce qui permet à l’utilisateur de gribouiller directement sur l’écran de sa tablette s’il le souhaite. A ce sujet, Sony promet une surface d’écran spécialement étudiée pour offrir un rendu très agréable, et pas trop glissant, à l’image d’une vraie feuille de papier.

D’un point de vue visuel, la tablette Sony DPT-RP1 permet d’afficher une image en une définition de 1650 x 2200 points, soit un très net bond en avant par rapport au modèle précédent, qui affichait 1200 x 1600 pixels. Une nouvelle tablette qui dispose également d’un nouveau processeur, afin de permettre à cette Sony DPT-RP1 d’être plus rapide et plus réactive.

A l’instar de n’importe quelle liseuse e-ink, ce nouveau modèle Sony dispose d’une autonomie digne de ce nom, avec environ 2 à 3 semaines en fonction de différents paramètres (WiFi, luminosité…). Côté stockage, on profite d’un total de 4 Go de mémoire interne, soit de quoi stocker environ 2800 documents. A ce sujet, la DPT-RP1 est compatible uniquement avec le format PDF, et Sony propose un logiciel spécifique avec sa tablette pour faciliter la conversion des fichiers au bon format pour cette liseuse.

A noter toutefois que cette Sony DPT-RP1 n’a pas forcément vocation de concurrencer une liseuse classique comme une Kindle ou une Kobo, mais Sony propose plutôt un produit qui vise à remplacer la feuille de papier en milieu professionnel. Côté gabarit, cette DPT-RP1 affiche une épaisseur d’environ 30 feuilles de papier et un poids de 350 grammes, avec un stylet de la taille d’un stylo classique, accroché directement sur le côté de la bête.

Prix et disponibilité

Cette nouvelle Sony DPT-RP1 sera proposée au Japon à compter du 5 juin prochain. Pour se l’offrir, il faudra toutefois accepter de s’acquitter d’une facture d’un peu moins de 1000 euros.