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#Rétrogaming : Tu te souviens… The Firemen sur Super Nintendo !

En 1994 (et en mai 1995 en Europe), Human Entertainment lance un certain The Firemen sur Super Nintendo. Un titre qui place le joueur dans la peau d’un soldat du feu (oui, un pompier) qui va devoir venir à bout des flammes qui dévorent l’usine Microtech un soir de Noël, tout en prenant le soin de sauver les civils piégés sur place. Un The Firemen qui connaîtra d’ailleurs une suite sur PlayStation, baptisée… The Firemen 2.

Test The Firemen Super Nintendo

A l’ère de la 4K, du ray-tracing et des 60 (ou 120) fps, il est bon de se replonger dans nos jeux vidéo d’antan, ceux que l’on prend plaisir encore aujourd’hui à lancer sur NES, sur Master System, sur Super Nintendo, PC Engine ou encore sur un bon vieil ordinateur de l’époque. Un petit coup d’oeil dans le rétro(gaming), comme un petit voyage vidéoludique dans un passé lointain. Une chronique animée par Turk182, que l’on vous invite chaudement à découvrir sur son excellent « Rétroblog »

The Firemen, un jeu de pompiers sur Super Nintendo !

Salut les vieux ! Je ne peux pas aborder les périodes de Noël sans avoir une pensée pour toutes ces personnes qui ont été attrapées dans cet horrible incendie qui s’est déclaré chez Microtech, usine chimique, lors de leur Chistmas Party… Bon, ne vous inquiétez pas, ce n’est que le scénario de The Firemen, un jeu que mon ami Vintz me fit découvrir sur sa Super Nintendo lors des fêtes de noël en 1995.

© Turk 182 / Rétroblog

Si vous suivez un peu mes aventures, vous n’êtes pas sans savoir que celui-ci avait une splendide Super Nintendo (et le jeu Jurassic Park donc) couplée d’un copieur de disquette. La première nuit, c’est Bomberman qui avait été à l’honneur. De splendides parties à trois vraiment très fun.

Le lendemain matin, Vintz et moi-même étant de véritable Geek, nous étions levés aux aurores alors que ma douce espagnole, enceinte jusqu’aux dents, dormait à poings fermés. C’est après un petit déjeuner pris à la hâte que nous allumâmes la SNES. Il me proposa un jeu dont je n’avais jamais entendu parler, même pas dans la presse spécialisée, ce fameux The Firemen.

© Turk 182 / Rétroblog

Cette magnifique console, à la ludothèque interminable, est souvent mentionnée pour ses classiques (Super Mario World, Donkey Kong Country, Super Metroid, Zelda…), mais elle cache de véritables perles comme ce The Firemen qui, dès les premières minutes, me fascina. J’étais donc aux commandes d’un gentil pompier accompagné de son fidèle ami Danny. Je devais maîtriser différents feux et remplir diverses missions. Pour cela, j’avais à ma disposition une lance à eau et trois bombes à eau pour les foyers les plus résistants.

Un vrai plaisir à jouer

Les feux qui rongeaient les salles étaient de différentes formes, certains étaient de petits foyers qu’il fallait arroser avec de petits spray d’eau, et d’autres étaient plus agressifs, voire même en mouvement, et devaient être maîtrisés avec un jet plus puissant. C’était vraiment un immense plaisir d’éteindre tous ces feux et de se prendre pour un « vrai » pompier. De temps en temps, Danny m’aidait avec sa hache.

© Turk 182 / Rétroblog

Plus j’avançais, plus les feux étaient difficiles à atteindre sans se faire toucher. Même quelques robots enflammés incontrôlables venaient semer le trouble dans notre mission déjà pénible. Le jeu bénéficiait d’une difficulté progressive, accompagnée de petits scénarios qui faisaient monter lentement la tension. La musique y était également pour beaucoup.

Finalement, à la fin de chaque étage, il y avait un boss sous forme de feu plus ou moins vivant. Heureusement, les bombes à eau étaient là pour nous aider. A ce propos, il n’était pas rare de rencontrer un peu partout quelques objets pour améliorer notre matériel.

J’ai vraiment adoré The Firemen, la seule critique que j’en ai fait à l’époque était sur le fait qu’il n’était pensé que pour un seul joueur. Quel dommage, car c’est vraiment le style de jeu idéal pour deux joueurs, et je suis sûr qu’avec mon ami Vitnz nous l’aurions fini avant même que mon espagnole ne sorte des bras de Morphée…